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Une destination dans la destination

Il paraît qu’à Maurice, les femmes et les hommes qui travaillent au contact des touristes finissent tous, un jour ou l’autre, par faire le même rêve. Celui d’un étonnant mariage. Au commencement, c’est un peu flou. Avançant dans un tourbillon où se mêlent d’enflammés récits d’amis voyageurs et de belles brochures de tours opérateurs, on devine, plus qu’on ne perçoit, des formes et des idées. Ce sont les fantasmes du visiteur. Sensuels et raffinés, ils dégagent un goût de paradis. Divin, le décor se précise. Dans le lointain, puis de moins en moins loin, elles apparaissent. Qui ? Les beautés panoramiques de l’île. Suspendues aux caprices d’un volcan islandais ou d’une bulle financière, elles cherchent à se placer dans la lumière. Celle d’un coucher de soleil, débordant de promesses. Sur l’image suivante, les désirs de l’un et les charmes de l’autre finissent par se trouver. Tout simplement. Encore plus qu’on ne l’imagine. Enfin, sur fond de marche nuptiale et de piscine à débordement, les attentes des uns et des autres, désormais réunies, s’embrassent à l’infini. Applaudissements. De cette rencontre est né un amour éternel. Rendez-vous est pris pour toujours.

Réussir le mariage entre les attentes des touristes In working on marrying tourists’ expectations to et les offres de Maurice, les professionnels du tourisme n’en font pas que rêver. Ils espèrent en célébrer cette année encore près d’un million. C’est le nombre de visiteurs attendus à l’aéroport de Plaisance entre le 1er janvier et le 31 décembre 2011. Pour ces noces imaginaires et l’accueil bien réel des vacanciers, les hôtels de l’île se mettent sur leur 31. Certains se parent des atours d’enseignes mondialement connues. D’autres, comme ceux de Veranda Leisure & Hospitality (VLH), le secteur d’activité hôtelier du groupe Rogers, préfèrent arborer les couleurs locales. Par goût pour une forme d’accueil plus authentique – en partant du principe que derrière chaque destination, il y a un pays, un peuple et une culture. L’entreprise compte en effet, dans d’autres secteurs, des partenariats avec des opérateurs de rang international auxquels elle est très attachée et qu’elle entend faire prospérer.

Dans l’hôtellerie, l’investissement de Rogers s’exprime sur deux plans. D’un point de vue purement financier d’abord, en étant le fondateur et le premier actionnaire d’un leader du secteur dans l’océan Indien, le groupe New Mauritius Hotels (NMH). Connu pour la marque Beachcomber, NMH détient et opère quelques fameux établissements hôteliers. A Maurice, il y a le Royal Palm, havre de paix de tant de célébrités, et le Dinarobin Hôtel Golf & Spa, qui n’est pas en reste côté VIP, ainsi que le Paradis Resort & Golf Club, le Trou aux Biches Resort & Spa, le Shandrani Resort & Spa, le Victoria, le Mauricia et le Canonnier. Beachcomber est aussi présent aux Seychelles avec le Saint Anne Resort & Spa et au Maroc avec le Royal Palm Marrakech, ainsi qu’en Europe, en AustralieetenAfriqueduSudavec des bureaux de vente.

Indépendamment de sa participa- tion boursière et sur un plan opérationnel, Rogers, avec VLH a créé et exploite les marques Veranda et Heritage Resorts. La première, qui aura 30 ans en 2012, propose des services 3 étoiles (normes locales et internationales) dans les hôtels Veranda Resorts : Veranda Paul & Virginie, Veranda Grand Baie, Veranda Pointe aux Biches et Veranda Palmar Beach. S’appuyant sur le savoir-faire et l’expérience de son aîné, le second label a vu le jour avec l’ouverture, en 2004, de l’Heritage Awali. Ce 5 étoiles aux couleurs africaines a été rejoint par un autre établissement d’un standard supérieur (5 étoiles luxe), l’Heritage Le Telfair, d’une architecture plus classique- coloniale tous deux inspirés de l’histoire et l’héritage mauriciens.

Depuis, ce dernier s’épanouit, telle une des belles plantes cultivées sur ce site par son ancien propriétaire, Charles Telfair. Tout en mettant en valeur les lieux, ce grand personnage de l’histoire mauricienne a permis, au côté de quelques dignitaires, le passage en douceur de l’ancienne Isle de France sous le giron de la couronne d’Angleterre au début du XIXe siècle.

Heritage Resorts sous les encouragements

Avec une offre intégrée, ample et luxueuse en matière d’hébergements (chambres, suites et villas), de restaurants (11 dont 7 ouverts le soir), de loisirs (plusieurs piscines, un lagon offert à de nombreuses activités nautiques, une réserve naturelle de 1300 hectares, un golf 18 trous de niveau international) et de soins pour le bien-être (salles de fitness, deux spas Seven Colours et leurs restaurants du même concept, etc…), Heritage Resorts cherche à hisser le Domaine de Bel Ombre au rang de destination dans la destination. Authenticité, calme et volupté garantis pour les vacanciers, Rogers vise aussi à faire en sorte que les touristes d’affaires et les investisseurs de passage profitent aussi de ce havre de paix de 2500 hectares, situé à une trentaine de minutes de l’aéroport.

En plus des accès Internet à haut débit, deux magnifiques espaces de réception et d’événementiel que sont le Château de Bel Ombre et le C Beach Club, le domaine dispose d’une salle de conférence pouvant accueillir 200 participants. Ce lieu de congrès et séminaire est aménagé sur le site de l’ancienne sucrerie, aujourd’hui rebaptisée La Place du Moulin. Il abrite aussi une galerie artisanale et accueille, certains jours de la semaine, un marché de produits frais ouverts aux marchands et habitants de la région. Avec les programmes éducatifs, sanitaires et sociaux de la Fondation Bel Ombre, ce marché est une des passerelles tendues par les dirigeants du groupe hôtelier en direction des communautés voisines. Ce sont autant de liens à inventer, à animer et améliorer, indispensables pour continuer de faire rimer authenticité et durabilité. S’appuyant sur la recherche de l’excellence, l’offre touristique du groupe Rogers, en général, et les développements des services d’Heritage Resorts, en particulier, rencontrent un accueil favorable et suscitent des encouragements.

Dans ce premier numéro du magazine PRESENCE, nous avons recueilli les témoignages du Président directeur générale du tour-opérateur français Exotismes, spécialiste depuis 25 ans des voyages dans les îles tropicales francophones. Nous avons également sollicité l’avis de clients fidèles et réguliers, originaires d’horizons divers. Enfin, des journalistes, parmi lesquels l’un des plus célèbres en France, Patrick Poivre d’Arvor, livrent aussi leurs impressions après un séjour à Bel Ombre.

photos : rogers image bank

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